Vous me demandez souvent comment je fixe les prix.
Facile… C’est un savant calcul !

Je prends en compte :

1. Le prix d’achat

On parle évidemment ici des objets ou vêtements que je chine moi-même… pas des dépôts.

2. Le coût du transport

Je fais parfois de longs trajets pour pouvoir vous proposer mes pépites. Entre le carburant, les péages et la location de la camionnette, des frais s’ajoutent.

3. Le coût des matériaux/produits

Certains articles ont besoin d’un petit rafraîchissement. Pour cela, j’utilise le plus souvent des produits naturels (si un simple nettoyage suffit) mais il y a parfois plus de travail de restauration.

4. Le temps passé

Et oui, le temps c’est de l’argent… et il faut aussi le prendre en compte.

Dans le cas de l’upcycling, je passe du temps à :

• chercher les matériaux ; jamais de neuf, c’est ma devise… sauf pour les objets électriques, soyons quand même safe 😉
• chercher comment recycler un objet qui en vaut la peine
• bricoler

5. Les charges

N’oublions pas l’URSSAF, le loyer, les factures d’eau et d’électricité, les assurances, la SACEM, la publicité, le site Internet, les vols (oui, oui…), le matériel de la boutique…

6. La valeur marchande

De looooonngues recherches sur le Net ou dans les boutiques me permettent de me faire une idée du prix que vaut ma pépite. Et je peux vous dire que j’y passe du temps pour être toujours au plus juste !

7. La marge bénéficiaire

Bah oui, c’est un peu le nerf de la guerre… Même si j’ai plaisir à vous proposer mes trouvailles à un prix modeste, j’ai quand même besoin de sous…

On a coutume de dire que dans la revente d’objets, il faut multiplier par 3 le prix d’achat. J’applique cette règle quelques fois, d’autres non (quand je m’emballe pour un objet, je peux aller au-delà de mon budget).

Pour arriver au prix final

Parce que j’ai à cœur que ces objets aient une nouvelle vie, je veille à trouver le juste prix pour que vous puissiez en profiter à moindre coût.

Je ne suis pas assujettie à la TVA, ce qui m’évite aussi de gonfler mes prix. Mais le gouvernement veille, ça ne durera pas ! Et ça se répercutera forcément sur les prix…

J’ai mis en boutique des étiquettes « vu sur Internet » qui vous informent sur les prix pratiqués en ligne.